Formulaire de Consentement de soins Informationnels

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Formulaire de Consentement de soins Informationnels
Stabiliser, prévenir les maladies bénignes, les suites d’un coup de froid, les maux de tête sont du domaine de la médecine actuelle. Mais quelle conscience a t’elle que le symptôme exprime avant tout un message, et nous ouvre un potentiel de transformation ?

Tout naturellement, des messages avisés nous arrivent, pour modifier ou nous faire reconsidérer certains aspects de notre vie, ou simplement permettre une remise à zéro pour une nouvelle dynamique de vie, que cela soit sous la forme d’un rhume, d’un mal au dos, d’anxiété, d’insomnie, d’hypertension, d’allergie. En pratique, on les fait disparaître avec un ANTI histamine, des ANTI biotiques, un ANTI dépresseur, un ANTI douleur, un ANTI insomnie… les messages vont donc devoir se renforcer pour être entendus. La maladie n’est tout simplement pas une erreur de la nature, mais un moyen pour appréhender d’importants messages.

Les diverses pratiques alternatives de santé ne diffèrent guère de cette approche. Les thérapeutes utilisent alors la lumière, le son ou d’autres thérapies par fréquences, des produits naturels, pour remédier aux symptômes plutôt que de chercher à comprendre les messages qu’ils véhiculent.
D’autre part, les soins psychothérapeutiques n’aboutissent la majeure partie du temps qu’au reproche, ou à un jeu d’explications sans issue, dont les effets apaisants ne durent pas à terme. Père, mère, enfance, épouse abusive, environnement de travail destructeur peuvent être mis en accusation, comme des centaines d’autres difficultés, survenues dans la vie d’une seule personne, tout cela au prix d’un nombre incalculable de consultations.

Le système Core débusque le schéma informationnel répétitif du consultant au sein de sa matrice informationnelle et le reconnecte, toujours au niveau informationnel, avec l’élément indispensable manquant, bloqué ou alternatif. L’information actuelle est alors complétée ou intégrée, et le message ou le symptôme peuvent s’effacer, leur but étant alors atteint.
Contrairement à ce qui se passe dans les autres thérapies, il n’est pas nécessaire que le message soit communiqué verbalement au consultant, il est transmis sous une forme qui échappe au contrôle mental, sous différentes formes, avec ou sans le secours de l’énergie. Cette approche donne des résultats qui semblent parfois miraculeux, tant le changement apparaît instantané, ou peut apparaître dans des domaines dont on a pas jugé opportun de faire état.

Il faut bien comprendre que notre mental, aussi utile soit-il dans bien des domaines, est responsable de la plupart de nos maladies. Non pas en nous rendant directement malade, mais en faisant barrage à de nouvelles informations indispensables pour notre avancée et développement.  Les habitudes, le manque d’intérêt pour le changement ou l’adaptation à de nouvelles situations font partie de nos constructions psychologiques mais aussi culturelles ; l’inconfort, ou les symptômes douloureux qui en découlent, et dont le sens est de porter notre attention sur un domaine qui a besoin de changer, seront toujours partie intégrante de notre processus évolutif.

Le Core permet au thérapeute d’entrer en résonance avec le schéma informationnel qui couvre tous les aspects de vie du consultant, sans utiliser ni énergie, ni contact physique, grâce à la pure communication informationnelle, non perceptible à nos sens. Ce procédé utilise les mêmes techniques que celles des guérisseurs qui travaillent à distance, cette même qualité qui nous permet de percevoir intuitivement des évènements que nous n’avons pas les moyens de connaître, ni énergétiquement ni physiquement, celle qui permet la coordination des processus vitaux de tous les animaux et de tous les végétaux sur de grandes distances. Les plantes, les animaux et les enfants sont très sensibles, donc très réceptifs à de tels soins, d’autant plus que leur mental ne dresse pas une barrière réfléchissante construite sur les habitudes de pensée, les opinions ou les systèmes de croyance.
La croyance, contrairement aux idées reçues, n’est pas nécessaire à l’efficience de la thérapie informationnelle. Tout système de croyance n’est qu’une pensée et une opinion cristalllisées, et comme tel, devient un filtre très sélectif. Même une croyance très positive des possibilités de thérapie du Core n’est pas utile, puisque le Core doit court-circuiter le niveau mental de la compréhension pour créer des modifications durables au niveau qui génère notre bien–être physique.
De très nombreuses expériences ont montré que le mental est le plus grand obstacle à la guérison. Il est donc vivement recommandé de ne pas discuter des résultats d’évaluations, toute confirmation ou tout désaccord étant également contreproductif au regard du processus de guérison.

Quand le Core fait état d’un problème émotionnel ou d’un risque de maladie, il n’est pas utile d’en parler avec le thérapeute, puisque cela aurait pour effet de pétrifier le problème, ou d’augmenter les résistances. C’est étranger à notre système culturel de croyance, qui nous conforte dans l’idée que la discussion autour d’une problématique sert à la résoudre, en conséquence de quoi on peut passer d’innombrables heures improductives sur les divans des psychanalystes.

Le vrai changement ne nait pas sur le divan ou sur le lit, mais quand nous sommes profondément bouleversés, quand notre vie est dans une passe difficile ou menacée, quand nous vivons une grande perte ou une tragédie, et que dans le même temps nous accédons au message profond que cette situation nous adresse. Ces moments clefs sont rares dans nos vies, mais chacun d’entre nous en a rencontré au moins une fois dans sa vie, et sait qu’ils sont des temps de changements profonds de direction de vie. Les ignorer, en faire des sujets de conversation ou les traiter par des « Ne t’inquiète pas, cela n’en vaut pas la peine », ou des « Dans quelques jours tu redeviendras comme avant et tu ne t’en souviendras même pas », n’aboutit qu’à un renforcement du message qui se mainfestera de façon encore plus douloureuse pour que nous en devenions conscient.
Cette tendance à ignorer tout message inconfortable est facilitée et encouragée par la trop grande importance de l’éducation « cerveau gauche » de notre culture. Le cerveau gauche analyse et trouve les causes et leurs conséquences sur un mode linéaire, ce faisant il n’autorise les explications qu’au sein d’un étroit corridor de connexions, ce qui correspond à notre mode actuel de compréhensions, ou ne peut que se référer à nos préférences personnelles.
Une résonance réussie demande le réinvestissement de notre hémisphère cérébral droit, de façon à synthétiser et associer l’information à un ensemble plus vaste de concepts, ce qui est nécessaire pour une meilleure intégration.
L’idéal est de faciliter le passage constant entre les fonctions du cerveau droit et du gauche.

De nombreuses techniques informationnelles réalisent ce processus de bascule d’un hémisphère cérébral à l’autre (droit/gauche), sans utiliser, ou alors seulement de façon insignifiante, l’énergie, et l’EMDR en est une clé essentielle. Une information trop contradictoire, trop illogique, trop vaste, trop non conventionnelle pour notre  cerveau gauche limité déclenchera obligatoirement la mise en route du cerveau droit, apte à appréhender un contexte plus large. Ce processus de bascule crée un état labile dynamique entre les deux hémisphères cérébraux, qui à son tour génère une polarité et accroit le flux d’énergie, qui va souvent s’évacuer par du rire ou des larmes. Mais en général, cela s’accompagne d’une composante durable qui ouvre à une connaissance de soi plus profonde, et le plus souvent ne peut et ne doit pas être mise en mots.

Les thérapies informationnelles n’ont, par leur nature, aucun effet négatif prolongé ni aucune contre indication. Ou l’information n’est pas résonante, car elle ne trouve pas son identique dans la matrice informationnelle du consultant, dans ce cas elle est « réfléchie », ou elle est pertinente et déclenche de nouvelles connexions dans le sens du mieux.
Bien sûr, ces nouvelles connexions, créatrices de nouvelles réalisations et compréhensions vont souvent déstabiliser notre vision routinière, rigide, de nous même et de notre vie. Nous trouvons souvent cela douloureux ou pénible, mais cette aggravation initiale correspond vraiment à la crise de guérison.
Ces douleurs ou cet inconfort sont toujours de courte durée, mais parfois très intenses, et sont toujours le signe que l’on se trouve en route vers la guérison. Cette phase peut s’accompagner de rêves marquants, de rencontres inattendues ou de circonstances qui déclenchent ou facilitent le processus.
Le schéma de réponse que nous propose notre culture est de tenter de supprimer la douleur par tous les moyens, et de toujours lui donner un sens négatif, plutôt que de le voir comme une invite au changement ou comme un aspect nécessaire à notre croissance et notre transformation.
Pour la même raison, notre culture a mis en place un environnement légal qui avait initialement pour but de nous protéger, mais se révèle à la longue devenir un frein puissant à toute croissance et tout changement, surtout dans le domaine médical.
Ces  pratiques de médecine informationnelle doivent être considérées comme de proches parents des méthodes de guérison spirituelle. 
Notre pratique exprime et correspond à cette vision, et il est important que vous, consultant, soyez en accord avec celle-ci également. Cela sous entend que vous compreniez et acceptiez que tout soin prodigué par votre thérapeute au cours d’une session avec le Core n’a qu’un but éducatif. 
Si jamais cette expérience vous prodigue des modifications au niveau physique, nous sommes d’accord avec la communauté scientifique établie sur le fait qu’ils sont pure coïncidence, c’est-à-dire qu’ils ne sont en aucune façon secondaires au soin, ou programmés volontairement par le thérapeute.
Les modifications au niveau informationnel n’ont qu’un seul but éducatif, vous aider à mettre en place les changements bénéfiques de votre style de vie.


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